Dans la presse il y a cent ans: « Flaubert écrivait mal »

Le 12 Décembre 1821 naissait Gustave Flaubert. Dans deux ans jour pour jour nous fêterons donc son bicentenaire. Aujourd’hui nous ne fêtons que son 198e anniversaire… Comment le fêter dignement ? Pourquoi ne pas s’inspirer de nos ancêtres d’il y a cent ans? Comment les littérateurs d’il y a un siècle avaient fêté les 98 ans de Flaubert, 39 ans après sa mort ? Avec respect ou indifférence?

Ni l’un ni l’autre, il y a cent ans cet anniversaire avait été cause d’une belle explosion de zizanie autour de l’écriture et du style de Gustave Flaubert… L’été 1919 était le premier été de paix après quatre ans de batailles de tranchées, mais malgré la paix retrouvée deux hommes de lettres avaient décidé de batailler ferme au sujet de la « pureté de la langue » de l’écrivain rouennais…

Les deux protagonistes de cette affaire étaient Paul Souday (1869-1929) et Louis de Robert (1871-1937). En Août et Septembre 1919 ils s’étaient affrontés par journaux interposés au sujet du style de l’auteur de Madame Bovary. Flaubert écrivait mal assurait Louis de Robert. « Non c’est faux, c’est vous qui êtes une espèce de cacographe ! » lui répliquait Paul Souday…

Qui était Paul Souday ? (on trouvera son portrait, brossé par Maurice Martin du Gard, dans Les Nouvelles Littéraires du 13 Juillet 1929 (cliquez ici). Né au Havre le 20 Août 1869, il avait exercé le travail de critique littéraire auprès de plusieurs journaux et revues. Depuis 1892, il était chroniqueur littéraire au journal « Le Temps ».

Louis de Robert (photo Wikipedia)

Son adversaire, de deux ans son cadet : Louis de Robert était né le 5 Mars 1871 à Paris. Il avait déjà connu la gloire d’un romancier à succès. En 1919, il avait déjà publié plus d’une dizaine de romans. Son livre le plus célèbre « Le Roman du malade » est d’abord paru en feuilleton dans « Le Figaro » et ensuite aux Éditions Fasquelle où il avait été distingué par le prestigieux « Prix Fémina » de l’année 1911. En août 1919, fort de sa notoriété, Louis de Robert avait publié dans la revue « La Rose rouge » un article au titre retentissant : « Flaubert écrivait mal ».

Outré par tant d’audace, le 29 Août 1919, Paul Souday riposte en première page du journal Le Temps sous le titre « Flaubert savait-il écrire ? »

Il y détaille la liste des « fautes » relevées par Louis de Robert puis démontre que ces prétendues erreurs n’étaient pas des fautes de grammaire mais le signe du talent littéraire de Flaubert. Enfin il conclut avec assurance en imaginant sans doute avoir mis définitivement son contradicteur à terre : «Moralité. Consulter le Littré et les manuels de grammaires ou de rhétorique, qui mentionnent l’existence de divers tropes et la légitimité des tournures un peu libres, avant d’accuser un maître de ne pas savoir écrire. Ce n’est pas de pareilles vétilles et de pareilles chicanes que dépend la qualité d’une langue ou d’un style. Nous avons aujourd’hui des puristes improvisés dont les scrupules portent à faux et sont presque aussi nuisibles que les excès des cacographes. L’article de Louis de Robert est, dans son genre, un symptôme frappant de la crise du français.»

Louis de Robert ne s’avoua cependant pas battu et répliqua par une lettre qui fut publiée en première page du journal Le Temps le 5 Septembre 1919 (en dessous et à côté d’un article sur « L’insociabilité des chauffeurs de taxi parisiens »). Paul Souday apporta sa réponse (sous les initiales P.S.)

 

Albert Thibaudet avait repris plus tard cette querelle au sujet de Flaubert notamment dans l’ouvrage qu’il a consacré à Gustave Flaubert en 1922 (disponible ici dans les collections numériques de Gallica).

Ce «Flaubert écrivait mal» est une formule suffisamment percutante pour certainement figurer dans mon futur roman en cours d’écriture…

En attendant ce futur roman, vous serez peut-être intéressés par la lecture de mon « polar décalé » paru en 2012: « Le Mystère du Pont Gustave-Flaubert » (cliquez ici).

 

 

Le défi de Bouilhet à Flaubert…

En parcourant la presse dans les collections Gallica BnF…

Faits divers littéraires

Madame Bovary et Madame de Montarcy...

Le 19 novembre 1851, Gustave Flaubert commençait à écrire Madame Bovary. Un roman qui allait nécessiter six ans de travail avant sa publication qui n’intervendrait qu’en 1857 (après une première publication, par petits morceaux, sous forme de feuilleton, dans la Revue de Paris du 1er Octobre au 15 décembre 1856). Il avait été « invité » à le faire par son ami Louis Bouilhet qui le mettait au défi d’écrire un roman qui soit une « oeuvre d’art » à partir d’un « fait divers ».

Louis Bouilhet allait attendre un peu moins longtemps que son ami Gustave Flaubert pour accéder à la gloire littéraire par sa poésie (il avait publié Meloenis, conte romain en 1851) mais aussi sur le terrain du fait divers, au théâtre, en relevant à sa manière le défi qu’il avait lancé à Flaubert… C’est une bonne raison pour revenir aujourd’hui sur ce poète un peu oublié qui fut conservateur de la Bibliothèque Municipale de Rouen, une trace en reste à l’angle sud est du Bâtiment qui abrite cette vénérable institution. Il était né à Cany-Barville (sous-préfecture de Seine-inférieure) le 27 mai 1821 et il est mort à Rouen le 18 juillet 1869 après avoir connu quelques instants de gloire sous les projecteurs parisiens…

70776123_2543071145745168_2767613922667134976_n

Statue de Louis Bouilhet (1821-1869) à l’angle de Bibliothèque Patrimoniale de Rouen

Louis Bouilhet allait obtenir la consécration auprès du public parisien  grâce à sa pièce Madame de Montarcy créée le 6 novembre 1856 au « Théâtre Impérial de l’Odéon ».

fullsizeoutput_165Illustration « Madame de Montarcy » 1856. Document Gallica BnF

Avec son drame en vers Madame de Montarcy Louis Bouilhet avait reçu les honneurs d’un véritable succès auprès de la critique et du public. Sa pièce avait été programmée durant soixante-dix représentations lors de la saison 1856-1857 sur la scène du Théâtre de l’Odéon, « le deuxième théâtre français » (précisait la page de garde de la deuxième édition de la pièce). Dès les premières scènes Bouilhet charmait le spectateur avec le rythme entraînant de ses alexandrins:

MAULÉVRIER
"Toujours gai! toujours fou! les passions sur toi
Glissent légèrement comme l'eau sur un toit!"
Louis Bouilhet, Madame de Montarcy, Acte I scène III

L’intrigue tenait en cinq actes et relevait de la fantaisie pure en partant de faits historiques réels : l’amour qui liait le vieux Louis XIV à une Madame de Maintenon qui n’était plus toute jeune, la passion de la jeune Duchesse de Bourgogne pour Maulévrier… On se souvient que l’influence de Madame de Maintenon avait poussé le Roi dans les bras des dévôts, le conduisant notamment à supprimer la tolérance religieuse envers les Protestants, en abrogeant l’Édit de Nantes qui avait fait la gloire d’Henri IV. Dans la pièce de Louis Bouilhet, le parti des Ducs imagine donc de faire échouer le parti des Dévôts en remplaçant Madame de Maintenon par la jeune et jolie Madame du Rouvray épouse de Monsieur de Montarcy. Madame de Montarcy est nommée Dame d’honneur de la duchesse de Bourgogne par Louis XIV avec la mission d’espionner la Duchesse. Madame de Montarcy est trop vertueuse pour être espionne et pour trahir la Duchesse de Bourgogne. Loin de la trahir, elle devient même la confidente de ses amours… Par son attitude Madame de Montarcy impressionne et charme le vieux Louis XIV qui nomme son mari Colonel. Va-t-elle devenir la maîtresse du Roi ? Monsieur de Montarcy (son époux) se l’imagine. En recevant son brevet de Colonel il soupçonne une liaison entre sa femme et le vieux Louis XIV. Cette jalousie est de plus alimentée par celle de Madame de Maintenon…. Dans sa fureur il veut tuer non seulement son épouse mais aussi… …Louis XIV… Il en est dissuadé par le père de Madame de Montarcy : le baron du Rouvray qui le convainc que tuer le Roi risque de mener aux pires drames : le chaos politique. Monsieur de Montarcy renonce alors à assassiner Louis XIV mais demeure résolu à faire mourir sa femme. Il veut la convaincre de s’empoisonner elle-même. Celle-ci refuse. Elle proteste qu’elle n’a commis aucune faute puis sous la pression de son mari, elle se décide avec panache à commettre cet acte irréparable… Ému, son époux s’empoisonne alors à son tour, pris de remords et convaincu à présent que sa femme est innocente…

On le voit, Louis Bouilhet avait appliqué dans cette pièce le conseil qu’il avait donné à Flaubert pour la rédaction de Madame de Bovary : s’inspirer de la page des faits divers les plus sordides (femmes battues, maris jaloux) publiés par les journaux… Ces derniers, les journaux, firent donc un accueil triomphal à Madame de Montarcy. Laissons leur la parole en explorant cette ressource formidable que constitue les collections numériques Gallica BnF…

Taxile Delord dans Le Charivari du 8 Novembre 1856 écrit « Franchement ce drame n’a pas le sens commun, mais le sens commun n’est nullement indispensable pour réussir au théâtre. La grâce, l’esprit, la poésie, le mouvement y suppléent souvent. Les personnages de M. Bouilhet n’ont ni les mœurs, ni les idées, ni les sentimens, ni le langage de leur époque, ils vivent néanmoins par une certaine passion, par une ardeur particulière qui sont dans l’intelligence du poète lui-même. A l’histoire il n’a pris que des noms, Louis XIV, Mme de Maintenon, d’Aubigné, Maulévrier, la duchesse de Bourgogne, et de ces noms il a fait des personnages à sa guise, marchant un peu à la débandade. Comme un essaim confus d’histrions en voyage [... ]Tout cela n’empêche point le drame de M. Bouilhet d’intéresser par la variété de scènes et des acteurs, d’émouvoir quelquefois par le pathétique des situations et de charmer toujours par l’éclat de la poésie. »

J. Maret-Leriche dans Le Nouvelliste, du 8 Novembre 1856 renchérit: « Avant tout, M. Bouilhet est un poète sérieux, neuf et puissant autant qu’il est peintre passionné quand il s’agit de tracer des caractères, et ceux de Louis XIV, de Mme de Maintenon, de M. et Mme de Montarcy lui font le plus grand honneur en donnant de lui l’idée d’une valeur de premier ordre. Les artistes se sont surpassés ; le style splendide et fort de notre jeune auteur les a portés, mais ils ont eu le mérite de se maintenir dans es hautes régions littéraires. »

Critique excellente dans Le Pays journal de l’Empire du 10 Novembre 1856

Le_Pays___journal_des_[...]_bpt6k4650930v_1

Pour T. Thibout dans L’Éventail : journal des théâtre, de la littérature et des modes du 16 novembre 1856  Il n’y pas de pièce : l’intrigue y est minimale.

L'Éventail___journal_des_théâtres_[...]_bpt6k6150704w_1-2

L'Éventail___journal_des_théâtres_[...]_bpt6k6150704w_1

 « Donc, de pièce, presque pas… Mais de littérature, mais de poésie… ventre saint-gris ! C’est autre chose ! Du premier bond, M. Louis Bouilhet se place au faîte de la littérature moderne. — On m’avait bien dit que le poëme de Maelenis du même auteur était un petit chef-d’oeuvre, je l’avais cru, mais auijourd’hui, je crois plus, j’affirme que M. Bouilhet a de l’élégance, de la précision, de la force dans la pensée ; et je le place avant M. Ponsard, comme poëte et comme ciseleur, je devrais dire comme orfèvre de l’esprit. Il y a dans les cinq actes de la Montarcy, quelques centaines de vers tout bonnement admirables ; le reste est pur correct et n’a pas la moindre senteur de l’école du bon sens… Les caractères sont faux, mais leur fausseté est rendue avec tant de vérité, que le public est sous un charme inconnu ; il néglige de fond du drame pour ne s’occuper que de la forme... et ma foi, aura beau crier qui voudra, Madame de Montarcy est un succès immense !.. »

Figaro___journal_non_politique__bpt6k2695229_1

B. Jouvin dans sa rubrique Théâtres publiée dans Le Figaro du 16 novembre 1856 est beaucoup plus dur que ses collègues dans une critique à la prose très parisienne mais il loue tout de même le poète Bouilhet :

« Poètes, écrivains, journalistes, ont salué, dans un cœur enthousiaste à l’unisson, l’avénement de M. Bouilhet au théâtre. Cette entente cordiale, cette unanimité dans la louange pouvaient à bon droit, paraître suspectes, car, de temps immémorial, parmi les lettrés, on n’admire à l’envi que ceux que l’on peut regarder sans envie, et l’on ne porte en triomphe que les gens qui sont dans l’impossibilité de marcher. Mais que M. Bouilhet se rassure : il est loin d’être un cul-de-jatte, et, d’ailleurs, les jambes sont-elles bien nécessaires à qui a des ailes ? Son succès est mérité, du moins, en partie et il peut ajouter foi, pour la moitié à la grande réputation qu’on lui a faite. En supposant que Madame de Montarcy soit au-dessous de l’éloge un peu tapageur qui lui a été décerné tout d’une voix, en revanche, Meloenis et quelques productions antérieures du poètes n’ont peut-être pas été assez remarquées, et il est raisonnable de voir dans la réussite du drame qu’une tardive compensation accordée au livre. »

Jules Janin dans Le Journal des débats politiques et littéraires du 10 Novembre 1856 publie une longue et belle critique

Journal_des_débats_politiques_et_[...]_bpt6k451075k_1-2

À travers ses critiques et ses chroniques de théâtre d’il y a plus de cent-cinquante ans, transparaissent les choix esthétiques et les débats d’idées qui agitaient le monde littéraire en ce milieu du XIXe siècle. En se décidant pour un sujet banal, sans importance (Louis XIV et sa cour) Louis Bouilhet se plaçait dans le courant de « l’art pour l’art » obéissant au cahier des charges que Flaubert s’était donné lui aussi pour écrire Madame Bovary : écrire un roman sur « rien » et travailler le style d’écriture jusqu’à son point d’aboutissement plus esthétique, avoir une ambition poétique et artisitque avant toute chose.

En choisissant la cour de Louis XIV (un sujet qui n’était pas « neutre » pour tout le monde), Louis Bouilhet offrait toutefois le flanc à la critique des partisans de la modernité, ou des anciens « quaranthuitards » favorables aux idées révolutionnaires. Ce fut par exemple le cas de Henri Lefort dans son « Épitre à Louis Bouilhet » (1856):

« Oubliez les palais, les rois, les courtisans 
Pour les hommes du peuple, ouvriers, paysans. 
Montrez-nous ce qui bat d’espoir et de souffrance 
Dans le cœur de ces gueux , le vrai cœur de la France. 

Dans le peuple puisez vos inspirations, 
Dites-nous ses douleurs, ses mœurs, ses passions, 
Ses luttes, ses amours, ses vertus et ses crimes ; 
Vivez dans ce milieu plein de drames sublimes. »

Le drame sublime de « Madame de Montarcy » eut cependant une gloire flamboyante et éphémère, ce qui invite à réfléchir sur les raisons toutes relatives de la réception par le public des œuvres littéraires.

Les représentations de Madame de Montarcy furent un succès critique et un succès public lors de la « rentrée théâtrale » de 1856, une consécration pour son jeune et prometteur auteur Louis Bouilhlet. Aujourd’hui tout le monde (ou presque) a oublié cette pièce… À la publication de Madame Bovary, Gustave Flaubert eut droit à un retentissant procès et aujourd’hui presque tout le monde connaît ce roman…

La gloire littéraire emprunte parfois d’étranges chemins…

Pour en savoir plus sur Madame Bovary et Gustave Flaubert

La Compagnie des auteurs sur France-Culture consacrée à Madame Bovary

Gustave Flaubert, Madame Bovary Michel Lévy 1857 Document Gallica BnF

Pierre Thiry, Le Mystère du pont Gustave-Flaubert, BoD, 2012

Bibliographie à propos de Louis Bouilhet

Albert Ango, Un ami de Flaubert: Louis Bouilhet, sa vie, ses oeuvres (1885) un document Gallica BnF

Étienne Frère, Louis Bouilhet, son milieu, ses hérédités, l’amitié de Flaubert (1908) document Gallica BnF

Henri Lefort En avant! Épitre à Louis Bouilhet Auteur de Mme de Montarcy (1856) une amusante critique versifiée et rimée document Gallica BnF

Quelques oeuvres de Louis Bouilhet

Louis Bouilhet, Meloenis, conte romain (in Revue de Paris) 1851. Document Gallica BnF

Louis Bouilhet, Madame de Montarcy, 2e édition 1856, dans les collections numériques de la bibliothèque de Munich (Allemagne)

Louis Bouilhet, Dernières chansons (avec une préface de M. Gustave Flaubert) 1872 Document Gallica BnF

Louis Bouilhet, Festons et Astragales, Melaenis, Dernières chansons, Lemerre 1891 Document Gallica BnF

 

 

Le Mystère du pont Gustave-Flaubert à Quai des Livres (Rouen)

p1050800.jpgSous le regard lointain des papillons du pont Gustave-Flaubert, il y a avait des livres sur les quais à Rouen ce Dimanche 15 Septembre. La librairie Le Livre Enchanté(dont la boutique est située 28, rue des Bons Enfants à Rouen) y avait dressé ses parasols sous un ciel savoureusement Normand…


p1050799.jpg

Les amateurs de trouvailles inattendues ont pu découvrir, sur une table, à droite de  «La correspondance secrète du Comte de Broglie avec  Louis XV», sous «Les Merveilles des Châteaux Normands», un livre dont les lecteurs de ce blogs ont souvent entendu parler «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert».p1050797.jpgp1050801.jpg

Silencieux, probablement intimidé par le voisinage de ses augustes congénères «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert aura-t-il finallement trouvé une place dans la besace d’un lecteur curieux d’insolite?
L’hebdomadaire Côté Rouen et 76actu (voir cet article que son rédacteur en soit remercié) invitait ses lecteurs à risquer cet achat, la librairie «Le Livre Enchanté» en offrait la possibilité (que sa dynamique libraire trouve en ce billet l’expression de toute ma gratitude).
735458-590720374325141-2084793583-o.jpg

Si, du fait d’un malencontreux hasard, vous n’avez pu vous procurer «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert» sur le stand de la Librairie Le Livre Enchanté lors de la manifestation Quai des livres, rien n’est perdu.
Et puis, si après avoir lu ces quelques mots vous ne savez toujours pas quoi faire, et bien allez donc un tour à la Librairie Le Livre Enchanté 28, rue des Bons Enfants 76000 ROUEN. Je parie que vous y ferez des trouvailles…

Le blog Satine’s Books a chroniqué Le Mystère du pont Gustave-Flaubert

satine-s-books.jpgAprès  la chronique «coup de coeur» du blog littéraire «Les Livres d’Aline»  les chroniques de l’écrivain-libraire Eric Darsan, du site Le Galion des EToiles, du blog de lecture TotalyBrune, de «Mes Mots de Vie» de Viou et ses livres cette semaine c’est le blog Satine’s Books (dont la devise est «Riez, lisez, vivez» qui vous présente «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert»: «..Je me suis laissée prendre au jeu des explications et des anecdotes que l’on trouve par profusion tout au long du livre. Et franchement, après avoir fini cette lecture, je n’ai qu’une envie c’est de retenter la lecture d’un livre de Flaubert…» Pour lire, sur Satine’s Books , l’intégralité de cette chronique cliquez ici. 

Vous pourrez vous procurer «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert», facilement dans toutes les bonnes librairies…

p1050761.jpgVous le trouverez  à la Librairie Des Vagues et de mots 84, rue de la mer 14150 Ouistreham (cliquez ici), à la Librairie Ryst 16, Grande Rue 50100 Cherbourg (cliquez ici), à la Librairie Banse 42, rue Alexandre Legros à Fécamp (cliquez ici) à la Librairie La Galerne 148, rue Victor Hugo 76600 Le Havre (cliquez ici). Vous le trouverez également à Rouen au Café Librairie Ici & ailleurs 31, rue Damiette 76000 Rouen (cliquez ici). à la Librairie L’Armitière 66, rue Jeanne d’Arc 76000 Rouen (cliquez ici), à Evreux à la Librairie l’Orielle 10, rue Borville Dupuis 27000 Evreux (cliquez ici), à Mont-Saint-Aignan à la Librairie Colbert Chapitre, place Colbert 76130 Mont-Saint-Aignan (cliquez ici) à Amiens à la Librairie Martelle 3, rue des Vergeaux 80000 Amiens (cliquez ici) à Alençon à la Librairie Le Passage 8, rue du Bercail 61000 Alençon (cliquez ici), à Rennes à la Librairie Le Failler 8-14 rue Saint Georges 35000 Rennes (cliquez ici), à Périgueux à la Librairie Marbot 17, cours Montaigne 24000 Périgueux (cliquez ici), à Béziers à la Librairie Clareton 15, rue de la Coquille 34500 Béziers (cliquez ici), à Saint-Denis de la Réunion à la Librairie Autrement 82-86 rue Juliette Dodu 97400 Saint-Denis de La Réunion (cliquez ici). Vous pouvez aussi le commander chez 38 librairies du réseau leslibrairies.fr (cliquez ici), sur le site Place des libraires (cliquez ici), sur le site Priceminister (cliquez ici), sur amazon.fr (cliquez ici). Bonne lecture!!!

 

«Le Style de Pierre Thiry est particulier…»

viouetseslivres.jpgAprès  la chronique «coup de coeur» du blog littéraire «Les Livres d’Aline»  les chroniques de l’écrivain-libraire Eric Darsan, du site Le Galion des EToiles, du blog de lecture TotalyBrune, de «Mes Mots de Vie» et des blogs Un Peu de LectureBooks-Story.Skyrock.com…  cette semaine c’est Viou et ses livres qui a lu «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert»: «..Le style de Pierre Thiry est particulier : poétique, lyrique et classique comme l’écrivain dont il parle mais aussi très contemporain par les clins d’œil qui fait à ses précédents ouvrages…» Pour lire, sur Viou et ses livres , l’intégralité de cette chronique cliquez ici. 

Vous pourrez vous procurer «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert», facilement dans toutes les bonnes librairies…

p1050761.jpgVous le trouverez  à la Librairie Des Vagues et de mots 84, rue de la mer 14150 Ouistreham (cliquez ici), à la Librairie Ryst 16, Grande Rue 50100 Cherbourg (cliquez ici), à la Librairie Banse 42, rue Alexandre Legros à Fécamp (cliquez ici) à la Librairie La Galerne 148, rue Victor Hugo 76600 Le Havre (cliquez ici). Vous le trouverez également à Rouen au Café Librairie Ici & ailleurs 31, rue Damiette 76000 Rouen (cliquez ici). à la Librairie L’Armitière 66, rue Jeanne d’Arc 76000 Rouen (cliquez ici), à Evreux à la Librairie l’Orielle 10, rue Borville Dupuis 27000 Evreux (cliquez ici), à Mont-Saint-Aignan à la Librairie Colbert Chapitre, place Colbert 76130 Mont-Saint-Aignan (cliquez ici) à Amiens à la Librairie Martelle 3, rue des Vergeaux 80000 Amiens (cliquez ici) à Alençon à la Librairie Le Passage 8, rue du Bercail 61000 Alençon (cliquez ici), à Rennes à la Librairie Le Failler 8-14 rue Saint Georges 35000 Rennes (cliquez ici), à Périgueux à la Librairie Marbot 17, cours Montaigne 24000 Périgueux (cliquez ici), à Béziers à la Librairie Clareton 15, rue de la Coquille 34500 Béziers (cliquez ici), à Saint-Denis de la Réunion à la Librairie Autrement 82-86 rue Juliette Dodu 97400 Saint-Denis de La Réunion (cliquez ici). Vous pouvez aussi le commander chez 38 librairies du réseau leslibrairies.fr (cliquez ici), sur le site Place des libraires (cliquez ici), sur le site Priceminister (cliquez ici), sur amazon.fr (cliquez ici). Bonne lecture!!!

Heureusement il y a Ry

p1050743.jpg«Rouen entretient toujours une relation tendue avec son fils le plus célèbre : Gustave Flaubert…» Oui, c’est vrai, les fils du pont Gustave-Flaubert sont en général tendus (et c’est sans doute mieux ainsi car autrement il se casserait la figure). «Heureusement qu’il y a Ry…» (c’est Courrier International qui le dit).

En effet, à Ry vous trouverez Le Bar Tabac Presse Le Flaubert  24, Grande Rue 76116 RY,p1050745.jpg

une adresse où vous pourrez vous procurer très facilement «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert». il y est en rayon, courez l’acheter!!! 

Le village de Ry est une charmante bourgade, à visiter pour retrouver l’atmosphère de Madame Bovary. Mais aussi, désormais, pour y découvrir «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert» qu’on se le dise!!!

p1050733.jpgSi vous n’êtes pas à Ry, rien n’est perdu, vous trouverez également Le Mystère du pont Gustave-Flaubert  à la Librairie Des Vagues et de mots 84, rue de la mer 14150 Ouistreham (cliquez ici), à la Librairie Ryst 16, Grande Rue 50100 Cherbourg (cliquez ici), à la Librairie Banse 42, rue Alexandre Legros à Fécamp (cliquez ici) à la Librairie La Galerne 148, rue Victor Hugo 76600 Le Havre (cliquez ici). Vous le trouverez également à Rouen au Café Librairie Ici & ailleurs 31, rue Damiette 76000 Rouen (cliquez ici). à la Librairie L’Armitière 66, rue Jeanne d’Arc 76000 Rouen (cliquez ici), à Evreux à la Librairie l’Orielle 10, rue Borville Dupuis 27000 Evreux (cliquez ici), à Mont-Saint-Aignan à la Librairie Colbert Chapitre, place Colbert 76130 Mont-Saint-Aignan (cliquez ici) à Amiens à la Librairie Martelle 3, rue des Vergeaux 80000 Amiens (cliquez ici) à Alençon à la Librairie Le Passage 8, rue du Bercail 61000 Alençon (cliquez ici), à Rennes à la Librairie Le Failler 8-14 rue Saint Georges 35000 Rennes (cliquez ici), à Périgueux à la Librairie Marbot 17, cours Montaigne 24000 Périgueux (cliquez ici), à Béziers à la Librairie Clareton 15, rue de la Coquille 34500 Béziers (cliquez ici), à Saint-Denis de la Réunion à la Librairie Autrement 82-86 rue Juliette Dodu 97400 Saint-Denis de La Réunion (cliquez ici). Vous pouvez aussi le commander chez 38 librairies du réseau leslibrairies.fr (cliquez ici), sur le site Place des libraires (cliquez ici), sur le site Priceminister (cliquez ici), sur amazon.fr (cliquez ici). Préparez bien la rentrée et bonnes lectures!!!

Le blog d’Eric Darsan a chroniqué Le Mystère du pont Gustave-Flaubert

Après les chroniques publiées sur les blogs de S.Ecritureb00ks Attitude après  la chronique «coup de coeur» sur «Les Livres d’Aline»  et celle du blog littéraire Pyrouette («La vie de ma voix intérieure»), c’est à présent au tour du blog de l’écrivain-libraire Eric Darsan de publier sa chronique sur  «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert»: «Pierre Thiry signe ici un roman dense, copieusement documenté, mêlant habilement l’ancien et le nouveau, la petite et la grande histoire, le rêve et la réalité au point  de ne plus pouvoir les distinguer, les parties les plus historiques et les plus factuelles étant aussi les plus imaginaires. » Pour lire en intégralité cet  article, admirablement écrit, paru sur le blog de l’écrivain-libraire Eric Darsan  cliquez ici.

«Le Mystère du pont Gustave-Flaubert» est disponible  àimag0225.jpgOuistreham, Evreux, Cherbourg, Rouen, ainsi qu’à la Librairie Chapitre de Mont-Saint-Aignan.

Vous pourrez vous procurer facilement Le Mystère du pont Gustave-Flaubert au Café Librairie Ici & ailleurs 31, rue Damiette à Rouen (cliquez ici) ainsi que dans toutes les bonnes librairies et sur la plupart des sites de vente en ligne.

 

 Sur Decitre.fr (cliquez ici)

 Sur Chapitre.com (cliquez ici).

 Sur Place des librairies (cliquez ici)

Le Mystère du pont Gustave-Flaubert «Coup de coeur» des «Livres d’Aline»

Après les chroniques publiées sur les blogs de S.Ecriture et b00ks Attitude c’est le blog littéraire «Les Livres d’Aline» qui vient d’avoir un «coup de coeur» pour «Le Mystère du pont Gustave-Flaubert»

coup-de-coeur-d-aline-pour-le-mystere.jpg «Tous les éléments sont là pour transformer ce Mystère du Pont Gustave-Flaubert en un grand moment de lecture…» Pour lire en intégralité cette chronique «Coup de coeur» du Blog littéraire Les Livres d’Aline à propos du «Mystère du pont Gustave-Flaubert» cliquez ici.

Vous pourrez vous procurer facilement Le Mystère du pont Gustave-Flaubert au Café Librairie Ici & ailleurs 31, rue Damiette à Rouen (cliquez ici) ainsi que dans toutes les bonnes librairies et sur la plupart des sites de vente en ligne.